C’était il y a une semaine, le dimanche 30 juin ou chaque rayon de soleil avait un petit côté miraculeux. Depuis ce jour, on a déjà commencé à se plaindre qu’il faisait chaud, trop chaud et que c’était bientôt la canicule et que de toute façon, c’était la faute à Hollande, encore une fois et que ça ne pourrait jamais tenir jusqu’à mes vacances !
Donc l’association En Vie Urbaine a organisé un « contest » de skate et graff au Pré Leroy dont voici quelques images.
Skate contest © Photo Éric Pollet
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Envol © Photo Éric Pollet
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Glissade © Photo Éric Pollet
Rampe © Photo Éric Pollet
Equilibre © Photo Éric Pollet
Amplitude © Photo Éric Pollet
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Ce dimanche, à Chef-Boutonne, actif village du sud Deux-Sèvres se tenait le traditionnel et indispensable tournoi international de tennis de table. Ne dites surtout pas ping-pong devant un puriste sous peine d’excommunnication. Si vous faites partie du sérail, on vous autorisera peut-être le moderne « ping« , laissant de côté le quasi jumeau « pong« .
Donc, j’ai couvert les demi-finales et finales de ce chouette tournoi, bien organisé, dans une nouvelle salle bien éclairée par la lumière du jour et avec des joueurs abordables. Je passerai sur les classements, anecdotiques pour le présent article. Pourtant, je dois vous narrer un fait original : la présence d’une joueuse chinoise dans le tableau féminin et… masculin. Xiao Xin Yang licenciée au CP Lys Lille Métropole s’est permise d’atteindre les demi-finales chez les poilus et de remporter la victoire en simple dames. Un cas !
Pour finir, voici une série de clichés volontairement décalés. Car une fois que les photos « normales » (celles commandées pour le papier du lundi) sont dans la boîte il faut bien passer le temps. Alors autant chasser du côté obscur du sportif de haut niveau…
Note à ceux qui n’ont pas d’humour : ces photos ne sont pas moqueuses et ne reflètent en rien les aptitudes sportives des athlètes photographiés. (Il y en a toujours qui ne pigent rien à qui on doit tout expliquer !)
Honneur aux dames !
Xiao Xin Yang plussoie son attaque © Photo Éric Pollet
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Xiao Xin Yang © Photo Éric Pollet
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Xiao Xin Yang : en garde ! © Photo Éric Pollet
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Xiao Xin Yang : la classique au service © Photo Éric Pollet
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Sarah Ramirez tient l’équilibre © Photo Éric Pollet
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Sarah Ramirez, rageuse ! © Photo Éric Pollet
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Sarah Ramirez sur le podium © Photo Éric Pollet
Les hommes maintenant.
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Emmanuel Lebesson n’est pas Dexter ! © Photo Éric Pollet
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Emmanuel Lebesson hypnotisé © Photo Éric Pollet
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Emmanuel Lebesson : la classique au service © Photo Éric Pollet
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Michel Martinez, le plus expressif ? © Photo Éric Pollet
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Michel Martinez, le plus expressif ? © Photo Éric Pollet
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Michel Martinez : la classique au service © Photo Éric Pollet
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Zoran Primorac, 7 fois aux Jeux Olympiques, tire encore la langue ! © Photo Éric Pollet
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Terminé mon Vendée Globe ! Bien sûr, il reste encore deux bateaux dans l’Atlantique nord, mais hier (jeudi 14 février) s’est achevée ma course autour du monde sans escale et sans assistance. Mes deux blonds marins, le jeune et l’autre, le vainqueur et le poissard, François Gabart et Bernard Stamm ont jeté l’ancre à l’Acclameur. Pour un au-revoir, quelques merci et peut-être un peu de promotion régionalo-communo-poujoulo-macif aussi. Mais ce n’est pas bien grave.
Après les avoir accompagnés, du départ à l’arrivée, et suivi pendant des semaines sur une planisphère qui n’a plus de secret pour moi, j’ai de nouveau rencontré deux sportifs, deux marins, deux hommes d’exception. L’un a gagné le Vendée Globe en battant pratiquement tous les records, l’autre, en perdant sa course, a concentré sur sa personne, la sympathie qu’échoie aux galériens. François a écrit une magnifique page de la course au large alors que Bernard, lui, a écrit un livre à la gloire des marins.
Je ne vais pas vous résumer la course des deux skippers, d’autres sites et livres l’ont fait et le feront. Mais comme beaucoup, hier, j’attendais la phrase que tout le monde voulait entendre de la bouche du plus picto-charentais des suisses à la question suivante :
- Tout seul, loin de tout, tu aurais pu mentir au jury, lui cacher qu’un marin russe avait foulé le pont de Cheminées Poujoulat ...
Et Bernard Stamm de répondre :
- C’est impossible. Ce n’est pas comme ça que je conçois la course, quoi. J’aurais voulu battre François, mais pas en trichant. «
Messieurs (et mesdames) les sportifs de tout poil, prenez en de la graine. En particulier les footeux qui lèvent systématiquement la main pour demander une touche qu’ils ont sciemment provoquée. Parce que ces deux là, dans toutes les circonstances, ils vous « zlatanent » sans forcer !
Bon vent les gars, je vous admire !
Bernard Stamm et François Gabart © Photo Éric Pollet
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Bernard Stamm et François Gabart © Photo Éric Pollet
Bernard Stamm et François Gabart © Photo Éric Pollet
Bernard Stamm et François Gabart © Photo Éric Pollet
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Bernard Stamm et François Gabart © Photo Éric Pollet
Bernard Stamm et François Gabart © Photo Éric Pollet
Bernard Stamm et François Gabart © Photo Éric Pollet
Bernard Stamm et François Gabart © Photo Éric Pollet
Bernard Stamm et François Gabart © Photo Éric Pollet
Bernard Stamm et François Gabart © Photo Éric Pollet
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Posted février 15th, 2013. Add a comment
Skate contest © Photo Éric Pollet
Envol © Photo Éric Pollet
Glissade © Photo Éric Pollet
Rampe © Photo Éric Pollet
Equilibre © Photo Éric Pollet
Amplitude © Photo Éric Pollet
